Frédéric Gallina / SA_History : dossier 1/090413, doc LeonardFriedrisch_modifié
JE PRÉVIENS QUE LE SUJET ME PLUT POUR CE DÉTACHEMENT QUE JE M'OCTROYAI PAR UN ESPRIT QUE J'AI NATURELLEMENT SIMPLET OU SIMPLISTE.
JE TROUVAIS LA DÉRISION À LA HAUTEUR D'UNE FICTION, UNE QUATRIÈME DIMENSION TOTALE.
UNE RELIGION EST SI VITE ARRIVÉE DANS UN ÉTAT DE RELIGIONS.
CEPENDANT J'ÉTAIS CE TYPE QUI ENTRE QUINZE ET VINGT-CINQ ANS ME JUGEAIT PLUS JE-M'EN-FOUTISTE QU'(À LA POURSUITE D')UN ACTE DE LIBERTÉ.
EN CLAIR LA RESTITUTION DU RÉEL M'EMMERDAIT PROFONDÉMENT.
PERSONNELLEMENT J'ADORAIS NE RIEN FAIRE, NE RIEN TOUCHER QUI NE SOIT DE MES PROPRES CURIOSITÉS.
JE M'ÉLOIGNAIS DONC DES CINQ SENS ET DE TOUTES SORTES DE RESPONSABILITÉS.
J'AVAIS CE FOUTU CARACTÈRE D'ÉCRIRE TOUT EN UN.
JE FIS COMME SI DE RIEN N'ÉTAIT.
Courrier de l'auteur, 15 avril 09 (extraits)
Rémi,
j'ai pris connaissance de ta lecture des 3 première pages du doc LeonardFriedrisch du dossier 1/090413 dans la soirée, je l'ai validé, et suis heureux de découvrir ton coup d'oeil. Je glisse un petit topo, que je vous adresse pour blablater sur ce SA_History.
En quelqu'obscurité personnelle, mon paradoxe est cette relation avec l'écrit ces 8 dernières années.
SA_History représente une rupture, une fiction phénoménologique avec le défaut d'être sa propre matière explicite dans un charabia dialectique.
SA_History est un essai qui terrasse dans un bip bop littéraire, (un jazz improvisé) un domaine alliant Fiction, et réalité autoritaire.
Et de surcoût, des tas d'excentricités me servent de sursaut qui me refilent à mon délire de ne pas lire de quoiquandqui faisant pourquoicomment.
J'ai axé donc mon travail d'écriture pour m'être plus un espace imaginaire assez spécial à mes référents vaporeux qui me servent de référent à survoler l'oeuvre d'Asimov, d'Herbert, et tout ce qui me passe par la tête.
L'autoritarisme doit être craint.
Et l'autoritarisme est un outil.
20 ans que j'ai réfléchi,
20 ans que l'autoritarisme est ma bête noire.
Vous dire que c'est un jeu d'écriture, est vraisemblable ton ennui que tu as éprouvé, quasi un cache misère avec plus ou moins d'entrain, à rentre dedans, qu'à être développé sans aucun fait raisonné dans la trame, mais qui linéairement me fit en avancer une, discontinue, à l'aide de suspicions, de sous-entendus (auquel les goûts et les couleurs ne se discutent pas), jusqu'à user sans embarras de l'obsolète à celui d'une information qui aurait pu référer un copyright média.
La constante est toute bête et irascible, il faut tout simplement croire construire un univers à l'aide d'un pouls de la vie même dans une extrême autarcie.
Un trip de dingue en résumé !
Tout compte fait, mon inconscient doit me prendre pour un sgribouilleur important.
D'ailleurs c'est mieux pour survoler l'envers d'un envers.
Sinon ça fait pas Histrion de la dernière averse.
SA_History, se retrouve être une synthèse chaotique sur la désymbolisation, qui s'entend pour moi, un drôle d'esprit Héraclitéen.
Héraclite cité, mais dont on ne peut lui prêter un manuscrit de son calame. Jusqu'à délirer, si citer Héraclite n'était pas un code philosophique un point clairement_obscur avant.
Balbutier une idée sur la réception d'une écriture morte ?
Serons-nous sensé écrire à une sensation commune de ce que l'on éprouve à une écriture vivante ?
ça gravite de balbutiements, de clefs fumigènes, un plein de relations dans un univers générant de l'acohérence pour être contemporain.
Une nouvelle vague de pâte_mot ?
Un désordre, en vérité psychédélique afin de s'en débarrasser, parce que ça refile des mouches.
Qui est en même temps une matière peut convaincue de la forme de s'en être débarrassée.
Une forme apparue il est vrai, puis elle a disparue, noyée par des lames de fond.
Et puis on croit qu'on l'a retrouvée.
Complètement confus ensuite.
Donc la forme est quelque part.
Y'a pas à chier.
Frédéric
ouest
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